La chabazite est un minéral naturel de la famille des zéolithes, provenant de l’altération à l’échelle géologique de matériaux volcaniques. La chabazite horticole de SOMEZ a été soigneusement sélectionnée pour ses propriétés adaptées à la culture des végétaux les plus délicats
Réservoir d’eau
Remarquablement poreuse, la chabazite horticole de SOMEZ présente une capacité de rétention d’eau de l’ordre de 40% en poids. Peu sensible à l’évaporation, elle autorise des arrosages moins fréquents qu’avec les substrats classiques.
Drainant
L’eau est stockée à l’intérieur des grains de chabazite. L’air circule librement entre eux et maintient en permanence le système racinaire dans un environnement aéré, ce qui limite le phénomène de pourrissement des racines.
Stable
Les grains de chabazite horticole de SOMEZ restent fermes et solides, ne gonflent pas, ne se délitent pas, ne se tassent pas malgré les arrosages et les variations de température.
Réserve de nutriment
Naturellement, la chabazite horticole de SOMEZ dispose d’un stock d’ions (potassium, magnésium, calcium) et d’oligoéléments comme le fer qui vont être à la disposition de la plante dés son rempotage. Son exceptionnelle capacit d’adsorption (C.E.C. 220 meq/100g) lui permet ensuite de stocker les élements apportés par les fertilisants et de ne les libérer que progressivement pour nourrir les végétaux en douceur.
Effet tampon
Les ions nutritifs sont échangés au niveau des racines avec des ions H+ responsables de l’acidité des substrats. La chabazite horticole de SOMEZ fixe ces ions H+ et maintient ainsi l’environnement racinaire à un PH neutre.
Ils l'ont adopté
chabasai®, je l’utilise pure, y compris sur les feuillus (j’adore les érables) et aujourd’hui, je peux dire : n’ayez crainte, fonçez !
J’ai converti certains d’entre vous et au club de bonsai de Nantes, c’est le seul substrat « autorisé », nous n’utilisons que cela. Cette roche ne nous est plus inconnue, puisque cela fait 15 ans que nous nous en servons (c’est vrai au début de façon homéopathique) mais aujourd’hui, sans réserve.
Au printemps 2007 j’ai reçu plusieurs sacs de chabasai®, le nouveau substrat pour bonsaï venu de France, afin de le tester.
Maintenant, après une période de végétation, j’ai mes premier résultats. Dans mon jardin, chaque année, je rempote près de 300 bonsaï de haute qualité, voire plus.
J’ai acquis une grande expérience de tous les types de substrats depuis plusieurs années : akadama soft, akadama hard, pumice, lave concassée, argile cuite et beaucoup d’autres produits similaires. Aussi, je pense être en position de juger l’efficacité de chabasai®, lequel est consitué essentiellement de zéolithe Je dois ajouter que je n’est pas réalisé un test scientifique mais seulement empirique. J’ai mis en pot 20 bonsaï (10 conifères et 10 décidus). Comme avec tous les substrats de ce type, j’ai ajouté 10 à 15% de tourbe brute.
Six mois plus tard je peux dire que tous les arbres ont survécu et qu’ils sont en bonne voire très bonne condition. Comparativement à l’argile cuite, à la lave ou à la pumice, ils ont l’air au moins en aussi bonne santé ou mieux encore. Je n’utilise pas d’akadama car il se décompose et il est trop cher.
Pour l’instant, mon sentiment est que j’utiliserai chabasai® pour tout mes arbres s’il est disponible ici (ndt : Allemagne). Peut-être qu’un mélange avec d’autres substrats pourrait être utile.
Je préfère chabasai® à l’akadama dans tous les cas.
Depuis de très nombreuses années j’utilise des substrats drainants avec en premier lieu l’Akadama, ainsi que la Pumice, la Pouzzolane et la Terra Rossa (provenant de l’Etna), sans oublier l’écorce compostée et la tourbe blonde du Chili. Ces substrats m’ont toujours donné satisafaction dans la mesure où je n’ai aucune maladie racinaire sur mes bonsaï. En revanche les problèmes viennent de l’Akadama qui se délite avec le temps, bien que j’utilise de l’extra dure que je fais sécher trois ans avant emploi.
J’utilise chabasai® depuis plus de deux ans. Mes premiers essais ont été faits sur des jeunes plants en culture. Puis, j’ai étendu son emploi à tous mes bonsaï. Pour les conifères et les oliviers j’ajoutte de la pouzzolane (30 à 50 %).
Actuellement chabasai® devient mon substrat « universel » . Evidemment je vais continuer à utiliser ce substrat et à le recommander.
Sylvestre, mahaleb, buis, chêne, genévrier entre autres se partagent ma pépinière. Utilisant ou ayant utilisé comme la plupart d’entre vous des substrats connus tel que la pouzzolane, la lutite, la pierre ponce ou l’akadama je me suis laissé séduire par chabasai®.
Vous me direz à coup sûr qu’il n’est pas évident de changer de pratique lorsque ça marche. Et bien pourtant petit à petit je m’y suis mis.
Contrairement à l’akadama qui se désagrège suite aux hivers, créant ainsi une couche en superficie tout en rendant l’arrosage difficile, chabasai® offre une plus grande durabilité, il ne se délite pas. De plus, les racines ne peuvent y pénétrer et donc la traverser à la différence de la pouzzolane.
Etant pleinement satisfait de l’utilisation de ce produit, je ne vais pas en changer et j’envisage même de l’étendre à tous mes arbres, quel que soit leur état de culture (reprise, en formation, en exposition) de manière pure ou en mélange !
J’utilise la zéolithe comme substrat depuis une dizaine d’années. J’ai d’abord utilisé un tuff zéolithique pour la culture et la reprise de yamadori de vieux pins sylvestres, puis chabasai® qui m’a apporté satisfaction.
Avec mon expérience je pense pouvoir dire que chabasai® est un substrat est exceptionnel pour ses qualités physiques et chimiques. C’est un substrat stable dans le temps, avec une capacité à retenir les engrais sous forme soluble. J’ai remarqué qu’avec les pins, la mychorization était exceptionnelle gage de bonne reprise et de bonne croissance. J’utilise aussi ce substrat en mélange à part égale avec du terreau pour la culture de feuillus comme le chêne, l’érable, l’aubépine….
En résumé les qualité de chabasai® son les suivantes :
- la capacité en air est excellente,
- la capacité en eau est très bonne , sans risque d’asphyxie pour les racines.
- la production de racines notamment chez les pins que je cultive essentiellement est étonnante.